Le jour où le Duc se fait agresser chez lui et qu’on urine sur son tapis parce qu’on l’a pris pour un autre, il ne pense qu’à une chose : retrouver cet autre et lui réclamer une nouvelle carpette. Tel est le scénario de base, aussi absurde soit-il, de The Big Lebowski, l’un des chefs-d’œuvre longtemps dénigré de Joel et Ethan Coen. Continuer la lecture
